Au début de cette année, le sénateur David Mark avait suggéré une possible répression des médias sociaux, les accusant d’être une menace possible sur la société nigériane. Le président du Sénat faisait remarquer que ces formes de technologie pouvaient être utilisés à des fins d’humilier les leaders.
"Le besoin de vérifier les médias sociaux devenait nécessaire, car les utilisateurs n’ont pas la possibilité d’enlever quoi que ce soit", a-t-il dit.
Mais après l'incidence du lynchage de 4 étudiants de l’université de Port Harcourt, le sénateur David Mark admettait lors d'un discours au Parlement que "grâce aux médias sociaux, les visages des tueurs des jeunes gens étaient identifiés."
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